Une méthode de calcul complète
Pour analyser le cycle de vie d’un produit et évaluer l’impact environnemental global d’une paire de chaussures, Chaussures Maniet a mis au point une méthode de calcul objective et claire.
Les catégories
Une chaussure est d’abord analysée sous tous les angles et selon 6 catégories :
- La matière première (matériaux utilisés pour la semelle, la tige et la doublure)
- L’emballage (composition de la boite, présence de plastique ou de papier de rembourrage,…)
- Le transport (Distance entre les matières premières et le lieu d’assemblage, méthode de transport et distance entre le lieu de fabrication et le dépôt logistique de Chaussures Maniet)
- Le traitement (traitement du cuir et composants utilisés, élevages dédiés ou non au cuir, colorants pour les teintures,…)
- L’économie circulaire (Réparabilité et recyclabilité de la chaussure)
- Social (Travail forcé et respect des conditions de l’Organisation Internationale du Travail, âge et salaires minimum légaux, égalité des rémunérations hommes/femmes, …)
Des scores pondérés pour plus de justesse
Un score a donc été attribué à chacune des 6 catégories du produit. Mais pour plus de transparence et de justesse, il est opportun de pondérer certaines catégories en fonction de leur importance. D’expérience et selon des études en la matière, 60 à 80% des émissions de CO² d’une chaussure proviennent de la matière utilisée. Il est donc normal que cette catégorie reçoive plus de poids dans le calcul final.
L’éco-score
« La combinaison de catégories, de critères, de cotations et la pondération de tous ces éléments nous permet de présenter un éco-score à nos clients pour chaque produit concerné », conclut Allison Vanderplancke, CEO de Chaussures Maniet ! Luxus.
« L’éco-score remplit donc son objectif principal : il informe davantage le client, il permet de donner un ordre de grandeur par rapport aux autres produits en fonction de son impact environnemental global, et il offre un niveau de choix supplémentaire au consommateur : Après le prix, la marque, le style, la couleur, la matière… voilà l’éco-score ! »